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La formation
MACLAND propose un nouveau parcours labellisé par l’Office Méditerranéen de la Jeunesse (http://www.officemediterraneendelajeunesse.org/). Ce parcours est accessible à tous les candidats. Néanmoins seuls les étudiants ressortissants d’un des pays membres de l’OMJ (Albanie, Bosnie-Herzégovine, Chypre, Croatie, Egypte, Espagne, France, Grèce, Italie, Liban, Malte, Maroc, Monténégro, Slovénie, Tunisie) peuvent candidater à une bourse OMJ de 1000 euros par mois pour une mobilité d’un ou deux semestres.
MACLAND-OMJ est une formation universitaire euro-méditerranéenne originale et unique par la globalité de l’approche et les méthodes appliquées aux problèmes et enjeux méditerranéens de développement et de gestion durable des patrimoines et des Paysages Culturels. Les Patrimoines matériels et immatériels sont devenus des leviers de développement globaux du territoire. Rares objets de développement non délocalisables, ils sont des outils économiques, sociaux et culturels durables. Les connaître peut aider les hommes à mieux vivre ensemble. Objets de paix par leur valeur universelle, ils sont aussi vulnérables face aux crises, aux désastres et aux risques naturels ou humains. Savoir les gérer peut renforcer leur durabilité et leur valorisation y compris dans un monde à croissance limitée. En deux années d’échanges et de formation appliquée au cœur de sites patrimoniaux reconnus entre l’Université de Saint-Etienne (S1), l’Université de Naples (S2) et l’Université de Tétouan (S3) et un stage obligatoire ou une recherche en laboratoire (dont Université de Fès) (S4), MACLAND –OMJ forme des chercheurs de haut niveau, des experts internationaux, des praticiens opérationnels dont le taux d’employabilité à la sortie de la formation frôle les 92%. Une attention particulière est portée à la gestion des patrimoines et des paysages culturels méditerranéens en temps de crise et face aux risques (gestion des catastrophes, tourisme à la fois atout et contrainte…) en réponse à un vrai besoin des Etats et de structures culturelles comme l’UNESCO de renforcer leurs résiliences.